Du 24 au 26 mars,, 30 000 personnes convergent à l’appel des collectifs « @bassinesnonmerci » / « @soulevements.de.la.terre »
et de la « @conf.paysanne.nationale » contre les projets de méga-bassines, malgré l’interdiction par la préfecture et un impressionnant dispositif policier dissuasif dès la première journée.
Les seules imagines parues ne sont que violence, parti pris et amalgame réduite à 30 000 écoterroristes, dixit le gouvernement. Ne pas se
méprendre, les plus radicaux sont affectivement le bras armé dans cette lutte pour de nombreux activistes et paysans, désarçonnés, révoltés
contre un modèle qui ignore le changement climatique et ne jure que par un ancestral modèle basé sur l’agro business de l’or vert où l’humain est proscrit.
méprendre, les plus radicaux sont affectivement le bras armé dans cette lutte pour de nombreux activistes et paysans, désarçonnés, révoltés
contre un modèle qui ignore le changement climatique et ne jure que par un ancestral modèle basé sur l’agro business de l’or vert où l’humain est proscrit.
On en oublie la genèse,es printemps poitevins, et les méga bassines.
Basée sur un modèle agro-industriel dévastateur, incompatible avec le changement climatique, privatisation de l’eau pour les plus riches. 6%
seulement des agriculteurs raccordés, généralement les plus grosses exploitations. Culture intensive et irraisonnée de maïs pour
l’exportation et la nourriture d’espèces bovines de l’autre côté de la planète. Pompage des nappes phréatiques en hiver et des ruisseaux pour
remplir ces énormes réservoirs. Destruction du vivant, des zones naturelles humides, de la faune et la flore endémique. 60 % de l’eau
s’en évapore. Pomper plus pour pomper plus. Avec le risque pour les « petits paysans » soucieux d’un mode plus vertueux de
voir les nappes baisser, ne plus à avoir accès à l’eau , et ne puissent développer l’agro écologie, l’agriculture locale, les circuits courts.
seulement des agriculteurs raccordés, généralement les plus grosses exploitations. Culture intensive et irraisonnée de maïs pour
l’exportation et la nourriture d’espèces bovines de l’autre côté de la planète. Pompage des nappes phréatiques en hiver et des ruisseaux pour
remplir ces énormes réservoirs. Destruction du vivant, des zones naturelles humides, de la faune et la flore endémique. 60 % de l’eau
s’en évapore. Pomper plus pour pomper plus. Avec le risque pour les « petits paysans » soucieux d’un mode plus vertueux de
voir les nappes baisser, ne plus à avoir accès à l’eau , et ne puissent développer l’agro écologie, l’agriculture locale, les circuits courts.
La suite nous l’avons tous vue. Des images qui ne reflètent pas l’entièreté de ce week end. Violence en série. Blessés de chaque côté suite à ce dispositif ahurissant. Plus de 200 manifestants blessés, 40 graves, Serge plusieurs semaines entre la vie et la mort avec des secours retardés par la Préfète.
Volontairement seulement des images positives ici.
Nous sommes l’eau qui se défend.
NO BASSARAN